Stands de voyageurs au long cours, conférences, films et réalisations numériques d’aventures : ce week-end se tenait le 21e festival des globe-trotters à l’Opéra de Massy. Autant dire que nous étions présents à ce rendez-vous, pour rêver, échanger, et recueillir de précieuses informations.
Parmi nos rencontres, celle de Marie-Pascal et Florent fut l’une des plus intéressantes. Il y a un an, ces deux jeunes gens partaient faire le tour du monde via l’Amérique Latine. Revenus fin juillet, c’est l’esprit encore ailleurs qu’ils ont répondu à nos questions pratiques sur l’itinéraire. Ils nous ont notamment conseillé de redescendre le Chili via une route partant de Puerto Montt vers le sud. C’est sans doute par là que nous rejoindrons El Calafate et son Perito Moreno, magnifique glacier incontournable d’après eux. En attendant, voici leur blog.
Santé en voyage, matériel de randonnée, prise d’informations sur tel ou tel pays… Et le tourisme durable dans tout ça ? Et bien nous y pensions à tout moment lors de nos conversations, recherchant ici et là des initiatives ou des témoignages, mais rien. La plupart des globe-trotters présents, s’ils partagent sans aucun doute ces valeurs, n’avaient pas d’expérience dans ce domaine. Nous nous sommes donc contentés du débat animé par Tyn Braun sur le voyage responsable, en présence d’un guide d’Allibert (voyagiste spécialisé dans le trek) et d’une représentante de Cités Unies France (association qui accompagne les projets de territoires à territoires, dans le domaine du tourisme durable notamment).
Qu’en avons retiré ? Plusieurs choses, même si le débat ne fut pas très poussé. Tout d’abord, d’ici 2010, 50 % des agences de trekking françaises devraient avoir adopté la charte "Agir pour un tourisme responsable" (ATR), signe d’une normalisation des concepts du tourisme durable. Ce qui n’empêche pas ce dernier d’être parfois mal perçu : « Qui a envie de dormir par terre et de manger du riz tout le temps », aurait déclaré un élu. A plusieurs reprises, les émissions de CO2 générées par les vols en avion ont été considérés comme la limite du tourisme durable. « En 1970, 20 millions de personnes prenaient l’avion, en 2025, elles seront 200 millions », indiquaient le guide d’Allibert. Et d’ajouter : « finalement, le vrai tourisme durable c’est l’Auvergne, à pied ». A méditer.
Parmi nos rencontres, celle de Marie-Pascal et Florent fut l’une des plus intéressantes. Il y a un an, ces deux jeunes gens partaient faire le tour du monde via l’Amérique Latine. Revenus fin juillet, c’est l’esprit encore ailleurs qu’ils ont répondu à nos questions pratiques sur l’itinéraire. Ils nous ont notamment conseillé de redescendre le Chili via une route partant de Puerto Montt vers le sud. C’est sans doute par là que nous rejoindrons El Calafate et son Perito Moreno, magnifique glacier incontournable d’après eux. En attendant, voici leur blog.
Santé en voyage, matériel de randonnée, prise d’informations sur tel ou tel pays… Et le tourisme durable dans tout ça ? Et bien nous y pensions à tout moment lors de nos conversations, recherchant ici et là des initiatives ou des témoignages, mais rien. La plupart des globe-trotters présents, s’ils partagent sans aucun doute ces valeurs, n’avaient pas d’expérience dans ce domaine. Nous nous sommes donc contentés du débat animé par Tyn Braun sur le voyage responsable, en présence d’un guide d’Allibert (voyagiste spécialisé dans le trek) et d’une représentante de Cités Unies France (association qui accompagne les projets de territoires à territoires, dans le domaine du tourisme durable notamment).
Qu’en avons retiré ? Plusieurs choses, même si le débat ne fut pas très poussé. Tout d’abord, d’ici 2010, 50 % des agences de trekking françaises devraient avoir adopté la charte "Agir pour un tourisme responsable" (ATR), signe d’une normalisation des concepts du tourisme durable. Ce qui n’empêche pas ce dernier d’être parfois mal perçu : « Qui a envie de dormir par terre et de manger du riz tout le temps », aurait déclaré un élu. A plusieurs reprises, les émissions de CO2 générées par les vols en avion ont été considérés comme la limite du tourisme durable. « En 1970, 20 millions de personnes prenaient l’avion, en 2025, elles seront 200 millions », indiquaient le guide d’Allibert. Et d’ajouter : « finalement, le vrai tourisme durable c’est l’Auvergne, à pied ». A méditer.
1 commentaire:
une grande pensee a notre AGP qui est au fond de son lit
cyril
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